... Y a t-il une clef à toutes poésies ?... Eh ...
Bonne question, à fend ou font d’ailes ? … Cleft ???
Parcourir l’Arbre
Se lier aux jardins
Se mêler aux forêts
Plonger au fond des terres
Pour renaître de l’argile
Peu à peu
S’affranchir des sols et des racines
Gravir lentement le fût
Envahir la charpente
Se greffer aux branchages
Puis dans un éclat de feuilles
Embrasser l’espace
Résister aux orages
Déchiffrer les soleils
Affronter jour et nuit
Evoquer ensuite
Au cœur d’une métropole
Un arbre un seul
Enclos dans l’asphalte Éloigné des jardins
Orphelin des forêts
Un arbre
Au tronc rêche
Aux branches taries
Aux feuilles longuement éteintes
S’unir à cette soif
Rejoindre cette retraite
Ecouter ces appels
Sentir sous l’écorce
Captives mais invincibles
La montée des sèves
La pression des bourgeons
Semblables aux rêves tenaces
Qui fortifient nos vies
Cheminer d’arbre en arbre
Explorant l’éphémère
Aller d’arbre en arbre
Dépistant la durée.
‘Destination Arbre‘, Andrée CHEDID (1943-2011).
웃 :D’ AHASVÉRUS (1834), Le personnage du légendaire errant et des Mystères … Edgard QUINET (1803-1875) :
< (…) Il y a, en effet, dans cette œuvre si inattendue, si poétique, et, par cela même, si propre à désorienter la routine, tout ce qui peut exciter l’admiration et aiguiser le sarcasme. Le fond et la forme, la pensée et la langue, le corps et le vêtement, tout, dans cet ouvrage, est empreint de force et éblouissant de nouveauté. Mais, il faut le dire, il y a excès de couleurs, abus de l’effet, dédain trop prononcé des demi-teintes et des ombres. Ici, tout se presse, tout scintille et bouillonne. Au bruit de ce torrent lyrique, au fracas de cette cataracte d’écumante poésie, la pensée même accoutumée aux jets les plus hardis de l’imagination, hésite à traverser ce tourbillon, et se cabre devant ces vagues. Ce n’est point ici de la poésie contenue, reposée, qui coule majestueusement entre ses rives ; c’est de la poésie enivrée, échevelée, ruisselante, qui dévore son lit, et nous porte, avec la rapidité de l’éclair, aux dernières limites du connu. (…) en Mythe ? …
Serait-ce une clef ?? … Ou le palais ?
웃: ‘Arcobaleni ‘…
Vers Ô vers the rainbow
En un vis ! Et vert ça ?
S’entend tout de même
À l’arc des baleines haut …
웃: « (…) C’est l’heure du soir, où l’arc-en-ciel tout luisant sur les Vosges porte joie et paix aux hommes de bonne volonté.(…) » Le Chœur, AHASVÉRUS, (1833 ) Jean Louis Edgar QUINET (1803-1875) .
웃 … Eh … Qui sait ?
… Ici, final works, « Family Man Group » … « The Empty Shoes (5mn06) » … Et vous, on vous a volé quoi ???
;-), … d’où l’on écrit bien WaCkefield sans C !
Wakefield, ville natale de Barbara Hepworth, … comme il se sait !
J’aimeJ’aime
S’il y a des Empty Shoes, y a t-il aussi des EM p’tits choix ?
En même temps que la forêt amazonienne est en feu …
J’aimeJ’aime
Pingback: À l’anagramme de DEMAIN, … NOTRE MONDE : { QU’ À T-ON APPRIS DE LA PANDÉMIE ? } | Home Ô si