"(...) Un tire-bouchon de fumée, Tournant son mince filet bleu (...)" Théophile Gautier (1811-1872) ‘ Émaux et Camées ‘ -' Fumée'.
Passages
Anagramme en titre : { AVEC LES COMPLIMENTS DU GUIDE } …
‘ Si, avec un si, on peut mettre Paris dans une bouteille, on doit pouvoir aussi, avec un si bémol ou naturel, mettre une contrebasse dans un porte-documents ou un hélicon dans un carton à chapeau.’ Pierre DAC (1893-1975), ‘ Les Pensées ‘ (1972)
Sa dette à Bye sale …
« Si le mot humble paraît ambigu, c’est seulement parce que la réalité ne l’est pour ainsi dire jamais, et que si les pauvres sont inoffensifs, c’est parce que les gens inoffensifs sont presque toujours pauvres. » Almudena Grandes in ‘Vents Contraires ‘ (2003)
Rendez-vous à ces arts !
“Il n'y a pas de hasards, il n'y a que des rendez-vous.” Paul ÉLUARD (1895-1953)
Anagramme en titre : « ÇA SE TROMPE, COMME LES AUTRES » …
« Et puis d'un seul coup : crac, la fausse note, la mouche dans le lait ! » Par Michel Audiard … Eh beh …
Doux Noël, me❄lleurs vœux !!
' L'insensibilité de notre sommeil est si complète que le galop du moindre rêve ne parvient pas à le traverser, à le rafraîchir. Les chances de la mort sont submergées par une inondation d'absolu telle qu'y penser suffit à faire perdre la tentation de la vie qu'on appelle, qu'on supplie. Il faut beaucoup nous aimer, cette fois encore, respirer plus fort que le poumon du bourreau. ' René Char (1907-1988) – Feu❄llets d’hypnos -
… Alors, on n’ y échappera pas ???
'(...) Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. (...)' . Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal .
Anagramme en titre : { LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EST HORS DE CONTRÔLE }.
Au directeur des messageries maritimes. Par Arthur RIMBAUD ‘1854-1891) UN LOT : UNE DENT SEULE. UN LOT : DEUX DENTS. UN LOT : TROIS DENTS. UN LOT : QUATRE DENTS. UN LOT : DEUX DENTS. Monsieur le Directeur, (…)
Anagramme en titre: { UNE DISSOLUTION QUI NE DIT PAS SON NOM ? }
(...) Tout le secret pour acquérir de l’embonpoint consiste dans un régime convenable : il ne faut que manger et choisir ses aliments. Avec ce régime, les prescriptions positives relativement au repos et au sommeil deviennent à peu près indifférentes, et ou n’en arrive pas moins au but qu’on se propose. Car si vous ne faites pas d’exercice, cela vous disposera à engraisser ; si vous en faites, vous engraisserez encore, car vous mangerez davantage ; et quand l’appétit est savamment satisfait, non-seulement on répare, mais encore on acquiert quad on a besoin d’acquérir. Si vous dormez beaucoup, le sommeil est incrassant ; si vous dormez peu, voire digestion ira plus vite, et vous mangerez davantage, Il ne s’agit donc que d’indiquer la manière dont doivent toujours se nourrir ceux qui désirent arrondir leurs formes ; et cette tâche ne peut être difficile, après les divers principes que nous avons déjà établis. Pour résoudre le problème, il faut présenter à l’estomac des aliments qui l’occupent sans le fatiguer, et aux puissances assimilatives des matériaux qu’elles puissent tourner en graisse. Essayons de tracer la journée alimentaire d’un sylphe ou d’une sylphide à qui l’envie aura pris de se matérialiser. Règle générale. On mangera beaucoup de pain frais et fait dans la journée : on se gardera bien d’en écarter la mie. On prendra avant huit heures du matin, et au lit, s’il le faut, un potage au pain ou aux pâtes, pas trop copieux, afin qu’il passe vite, ou, si on veut, une tasse de bon chocolat. À onze heures, on déjeunera avec des œufs frais brouillés ou sur le plat, des petits pâtés, des côtelettes, et ce qu’on voudra ; l’essentiel est qu’il y ait des œufs. La tasse de café ne nuira pas. L’heure du dîner aura été réglée de manière à ce que le déjeuner ait passé avant qu’on se mette à table ; car nous avons coutume de dire que quand l’ingestion d’un repas empiète sur la digestion du précédent, il y a malversation. (...) De Jean Anthelme BRILLAT-SAVARIN ' La Physiologie du goût ',1825, ou ' les méditations de gastronomie transcendante, ouvrage théorique, historique, et à l’ordre du jour, dédié aux gastronomes Parisiens ' .
DÉLICATEMENT…
« Il faut exprimer le vrai pour écrire naturellement, fortement, délicatement. » Jean de la Bruyère (1645-1696)